Le 10 novembre 2019, une manifestation “contre l’islamophobie” a rassemblé un public hétéroclite. Beaucoup de monde: à Paris, il y avait 13500 manifestants selon le cabinet Occurrence. Normal, vu le ralliement de toutes les organisations de gauche, en plus des islamistes de tous crins, sans exclure les pires.
Et Marwan Muhammad a crié: “Allahou Akbar!” Et la foule a scandé à sa suite: “Allahou Akbar!”
La manifestation était contre la haine et le racisme, et fait suite à l’attaque devant une mosquée à Bayonne, où un octogénaire a blessé deux hommes. Bizarrement, il n’y a pas eu de manifestation de cette envergure contre la haine qui a tué 263 personnes et en a blessé des centaines d’autres, rien qu’en France depuis quelques années, au cri d'”Allahou Akbar!”, cri du djihad. Et on n’a pas parlé de ceux que la même haine a tués dans les autres pays, au même cri. C’est, je le rappelle, le cri du djihad.