La France “terre de mécréance” pour des médecins en France? Quelle médecine vont-ils prodiguer? Le titre le dit: la médecine religieuse, du genre: ventouses ou (ce n’est pas dit ici, mais cela fait partie de la médecine dite “prophétique”): battre le patient en prétendant qu’il a un djinn et que c’est le djinn que l’on torture ainsi. Il en meurt parfois, mais ce n’est pas grave, on passe à un autre patient. (Voir les textes concernant cette pratique, appelée “roqya chariyya”, et les explications dans L’islamisme et les Femmes)
Appeler “arabe” la médecine des peuples vaincus par les Arabes, c’est comme d’appeler “nazie” la médecine française en 1943.
Un des exemples les plus connus : Avicenne ou Ibn Sina. C’était un Persan écrivant en arabe. Les Persans sont appelés “iraniens” depuis 1936. Lors de la “conquête” arabe, ils ont été massacrés de façon épouvantable. Les Arabes ont pillé leurs biens et ont réduit leurs femmes et leurs enfants en esclavage.
L’un de ces Persans, Abou Louloua, réduit en esclavage, fut tellement pressuré que, de désespoir, il décida de tuer le calife Omar qui refusait d’alléger son joug. Il se présenta à la mosquée avec un poignard à deux lames et, poignardant à droite et à gauche — en commençant par Omar et en finissant par lui-même, il tua 14 personnes.
Le fait qu’un homme seul ait pu tuer autant de monde au premier rang dans une mosquée, prouve combien le calife était haï. Ce n’était pas différent de Daech aujourd’hui.
Ceci rejoint ce que l’historien Ibn Khaldoun, lui-même pourtant Arabe de souche et né au Maghreb, raconte. Ibn Khaldoun rend les Arabes coupables de la dégénérescence scientifique et artistique des peuples vaincus par eux. Malheureusement, ces textes sont souvent censurés ou édulcorés dans les traductions, et même dans certaines éditions en langue arabe.