Il est devenu routinier de se focaliser sur un seul attentat, taisant des centaines d’autres. Il y a quelques années, en France, ces tags sur un mur d’enceinte de mosquée à Toul (voir photo ci-dessus), ont davantage scandalisé que la lapidation, à deux cents mètres de là, d’un prêtre et de son église (appelés “caillassage” alors que des parpaings avaient été lancés dans l’appartement du prêtre pendant qu’il s’y trouvait), et le drapeau noir islamique hissé sur cette église. Une semaine après les tags, on parla à peine de l’assassinat d’un jeune Français Noir et chrétien qui avait accouru au secours d’un autre Français qui défendait son amie insultée. (Lire les trois histoires dans mon livre L’Islamisme et les femmes.)
Ce “deux
poids deux mesures” se fait soit selon l’identité du tueur ou du
délinquant, soit selon celle de la victime. Il y a quelque chose de
maladif dans cette sélection. C’est comme si l’on voulait priver une
personne de sa valeur humaine en fonction de sa religion, et interdire
de la comptabiliser parmi les victimes, si elle est attaquée ou tuée.
C’est là que se trouve le véritable fascisme de nos jours, car cette partialité dans l’information imite strictement ce qu’on faisait en Allemagne hitlérienne.
Une partie du djihad consiste, après avoir dépouillé les chrétiens de
leurs pouvoirs, à les dépouiller aussi de leur histoire et de leur
religion. Cela s’est vu partout, et tout au long de l’histoire, quand on
dit, par exemple, que Jésus est un prophète musulman.
Je peux
croire en la bonne foi du musulman du peuple, qui ne connaît pas ses
textes — et en la bonne foi des chrétiens qui ne les connaissent pas non
plus. Je ne peux pas croire en celle des oulémas qui ont travaillé à la
transformation de la fête chrétienne de l’Annonciation, en fête
islamo-chrétienne. Car eux savent très bien ce qu’ils font.
Durant ces prières communes qu’ils ont organisées aujourd’hui dans un
grand nombre d’églises au Liban et ailleurs, pourquoi se sont-ils
empêchés de réciter les versets suivants au sujet de Jésus et Marie? Car
ils les récitent bien dans leurs mosquées, et ils montrent que pour
eux, le 25 mars n’est pas, comme disent les chrétiens, “l’anniversaire
du jour où Dieu est devenu un homme pour sauver les autres hommes en
portant leurs péchés et en priant et pardonnant sur la croix.”
Il y a dans cette omission quelque chose d’inquiétant. Car aujourd’hui,
ça va, les chrétiens sont en position de force au Liban: ce sont les
lieux de pèlerinage chrétiens qui sont les fréquentés, non ceux des
musulmans. Qu’arrivera-t-il, en revanche, quand les chrétiens seront au
creux de la vague comme durant les années 1990? A ce moment, il y a de
fortes chances pour qu’on continue à nous dire que l’Annonciation est
une fête commune, et qu’on ressorte alors les versets suivants qu’on
omet maintenant de signaler:
1- Les versets qui disent que Jésus n’est pas le Sauveur des hommes et qu’il n’est pas mort sur la croix:
« Ils ne l’avaient pas tué et ils ne l’avaient pas crucifié, mais il leur a seulement semblé qu’ils le faisaient. Et certainement, ceux qui pensent autrement restent dans le doute. Ils n’ont pas de science à ce sujet, mais suivent seulement des conjectures : ce qui est sûr, c’est qu’ils ne l’ont pas tué.» (Coran, 4.157-158)
2- Les versets qui disent que Jésus n’est pas la seconde personne de la Trinité, que Jésus n’est pas Dieu, et que les chrétiens sont des mécréants parce qu’ils y croient:
« Ils sont des mécréants, ceux qui disent : “Dieu est le Christ, fils de Marie !”… Ils sont des mécréants, ceux qui disent : “Dieu est le troisième de trois,” quand il n’y a, en matière de divinité, qu’un seul Dieu ! » (Coran, 5.72-73)
3- Les versets qui disent que l’annonciation de Jésus n’est pas l’annonciation de l’Incarnation de Dieu (selon les chrétiens), mais celle de la conception de l’annonciateur de Mahomet (selon les musulmans):
« Jésus, fils de Marie, a dit : “Ô fils d’Israël ! Je suis, en vérité, l’Apôtre [ou prophète] d’Allah, envoyé pour confirmer la partie de la Thora que vous avez déjà, et pour annoncer la bonne nouvelle d’un Apôtre qui viendra après moi et dont le nom sera : Ahmed”. Mais quand il vint à eux avec les preuves évidentes [les miracles], ils dirent : “Voilà une sorcellerie évidente.” » (Coran, 61.6.)
Messieurs les oulémas, c’est votre opinion, et nous la respectons: nous sommes au pays de la liberté d’opinion. Mais de grâce, respectez-nous en nous citant aussi les versets ci-dessus. Car ils montrent que nous ne parlons pas du tout de la même chose. Et que vous le savez.
Suite à cette frénésie d’antisémitisme, et pour remettre les pendules à l’heure et rappeler ce qu’il en est vraiment, si l’on compare les manifestations à Paris même, j’ai fait cette vidéo. Cette fois, je passe devant la caméra, chose dont j’ai horreur, mais il fallait faire vite, car par sa violence, ce genre de vagues d’accusations cause des haines et des méfiances, et cela peut finir dans des coups et blessures, dont certaines peuvent être mortelles.
Le slogan qu’on va entendre : « Khaybar, Khaybar, ya yahoud, jaych Mhammad sa (ou saoufa) yaaoud », veut dire : « Khaybar, Khaybar, ô juifs, l’armée de Mahomet va revenir ». On l’entend lors de cette manifestation, qui a eu lieu à Paris, place de la République, le 9 décembre 2017.
Il faut savoir ce qui s’est passé
à la bataille de Khaybar (VIIème siècle). Khaybar est une oasis et une
fortification naturelle qui se trouve sur la route des caravanes, en Arabie saoudite
actuelle. Quand les armées de l’islam l’ont attaquée, c’était non pour des
raisons politiques, mais uniquement pour une raison religieuse, et ceux qui
changeaient de religion étaient épargnés. Au début, les juifs ont résisté, ils
ont perdu la bataille, et tous ont été massacrés, tous les hommes et les
garçons à partir de 12 ans inclus.
Les femmes et les enfants ont été
réservées pour l’esclavage, la vente et le service, et pour le viol. Voyant cela,
les juifs de Khaybar qui n’avaient pas combattu (il y avait plusieurs fortifications)
a demandé la paix. Elle a obtenu la paix avec le statut de dhimmi, et a été en
métayage sur ses propres terres.
On se demande alors comment un
slogan pareil peut être lancé à Londres, à New York, à Paris ou en Belgique.
Pourquoi enseigne-t-on ce slogan aux enfants en Orient ? Pourquoi fait-on des
séries télévisées sur Khaybar ? Quand on parle de Khaybar, quand on
prononce ce slogan, on se réfère à une attaque qui n’a pas été menée pour des
raisons politiques ou militaires. Le hadith est bien clair : les juifs de
Khaybar n’avaient rien fait. Ils ont été tués pour ne s’être pas convertis.
Donc, quand on emploie ce slogan
aujourd’hui, ce n’est pas du tout dans un but « antisioniste », mais
dans un but antijuif. Et quand on parle de massacre de Khaybar, on parle d’un massacre
de juifs perpétré pour des raisons religieuses ou ethniques. Voilà ce qui, aujourd’hui,
fait peur.
Pakistan. Quand on parle de la bastonnade d’Asia Bibi ou d’Imran Massih, il s’agit en fait d’un lynchage que la police a arrêté. Celui de Munib et Mujib Butt n’a pas été arrêté.
Il se trouve qu’Asia et Imran étaient chrétiens, alors que Munib et Mujib étaient musulmans. Mais les quatre étaient innocents. Munib et Mujib ont été frappés pour un vol qu’ils n’avaient pas commis: ils étaient venus par hasard en ce lieu où des bandits avaient commis un vol à main armée, et laissé des blessés dont un était mort.
Sur une des images, on voit Salman Taseer, alors gouverneur du Pendjab. Quelques semaines plus tard, il fut lui-même assassiné pour avoir défendu Asia Bibi.
When we talk about the beating of Asia Bibi or Imran Massih, it is actually a lynching that the police stopped. That of Munib and Mujib Butt was not stopped. Asia and Imran happened to be Christians, while Munib and Mujib were Muslims. But the four were innocent. Munib and Mujib were struck for a theft they did not commit: they came by chance to this place where bandits had committed an armed robbery, and left wounded one of whom had died.
In one of the rushes we see Salman Taseer, then governor of Punjab. A few weeks later, he was himself murdered because he defended Aisa Bibi.
Cette image a été publiée il y a quelques années pour essayer de sauver Meriam Yahia Ibrahim, une Soudanaise condamnée à cent coups de fouet pour adultère pour avoir épousé un chrétien, et condamnée à mort pour apostasie, parce qu’elle était devenue chrétienne. Sauvée par l’action des Occidentaux, elle a pu quitter le Soudan.
Pourvu qu’il y ait beaucoup d’actions de ce genre pour sauver ceux qui croupissent dans les terribles prisons du Soudan et du Pakistan pour avoir usé de leur liberté de conscience, et empêcher qu’il y ait encore des morts à cause de la libération d’Asia Bibi au Pakistan…
Mais il n’y a pas qu’Asia Bibi. Je travaille en ce moment sur l’histoire d’un épicier chrétien, non loin du village d’Asia Bibi, dont le voisin convoitait le local pour agrandir sa propre entreprise. N’ayant pu le convaincre de partir, il le convainquit de brûler un livre en arabe (langue que l’autre ne connaissait pas). Puis, quand ce fut fait, il ameuta le quartier en criant qu’Imran avait brûlé le Coran. Il rassembla 400 émeutiers décidés à lyncher l’épicier, Imran Massih, ainsi que ses frères. Ils les battirent férocement et jetèrent sur eux de la paraffine pour les brûler vifs.
La police étant intervenue, ils revinrent avec 600 autres forcenés et attaquèrent à 1000 le poste de police en jetant des pierres et en exigeant qu’on leur livre Imran pour pouvoir le pendre. Finalement la police céda et le déclara blasphémateur. Il fut emprisonné.
Depuis, son avocat a été menacé pour laisser tomber le cas. Il a refusé, on a essayé de le tuer. Les associations de droits de l’homme ont exigé une enquête réelle. Alors les cendres des livres brûlés par Imran furent examinées. Le livre arabe n’était pas le Coran. Ali l’avait accusé faussement. Imran demeura pourtant en prison, et sa famille dut s’enfuir en abandonnant son commerce. Les autres familles du quartier étaient aussi menacées.
Les imams financés par le Qatar et l’Arabie Saoudite (wahhabites), les talibans, Daech, al-Qaïda, etc., disent que c’est de la mécréance de souhaiter aux chrétiens “Joyeux Noël”, et que le musulman qui fait cela va en enfer.
Mais nous remarquons que ce sont les musulmans qui font le plus de bonnes actions qui traitent bien les chrétiens et les juifs. Ce sont ceux qui ont pitié des pauvres, ce sont ceux qui cherchent à ne pas envenimer les choses, ce sont ceux qui aiment la vérité, ce sont ceux qui ne jugent pas sur les apparences. Qu’ils ne soient pas d’accord avec nous sur le plan religieux ne change rien à leur bonté intrinsèque. Si nous avons la même bonté, nous finirons bien par nous rejoindre.
Le Dar el Ifta au Caire a promulgué une fatwa louable, exprimée sous la forme d’une animation dans laquelle les bonnes relations avec les chrétiens et les juifs sont recommandées. Les fidèles sont également appelés à ne pas imiter les gens de l’Etat islamique qui traitent de “Kafir” ou mécréant, le musulman qui ne hait pas les chrétiens et les juifs.
Memri a sous-titré en anglais la vidéo qu’on peut aussi voir en arabe en suivant ce lien : https://www.memri.org/tv/egyptian-fatwa-institute-encourages-holiday-greetings-non-muslims-peaceful-coexistencefbclid=IwAR1JUjP1pnvKex2G1yOqYtAMZjMXKHy85EZj5ClGwjHY3-Tqo9zdV4-sYvg?fbclid=IwAR1JUjP1pnvKex2G1yOqYtAMZjMXKHy85EZj5ClGwjHY3-Tqo9zdV4-sYvg
Le vendredi 10 novembre 2017, deux islamistes ont violé la clôture du Carmel de Verdun alors que les religieuses faisaient la prière des vêpres (soir).
Le Procureur de la République de Verdun, Guillaume Dupont, a publié un communiqué selon lequel et l’un des deux hommes « aurait rédigé les mots “Allah Akbar” sur le livre d’or de l’église ». Les deux hommes ont dit aux religieuses:
« Si vous ne vous convertissez pas, vous irez en enfer ».
Il aurait été intéressant de voir comment les mêmes islamistes auraient réagi si deux femmes avaient fait irruption dans leur mosquée au milieu de leur prière du soir pour leur dire de devenir musulmans, et pour écrire sur le livre d’or de la mosquée: “Le Dieu de la Bible est le plus grand”.
Dans une interview accordée au quotidien L’Est républicain, l’évêque de Verdun a déclaré que les deux hommes « se sont présentés comme des annonciateurs et leur ont dit : si vous ne vous convertissez pas, vous irez en enfer » et ont « prié en arabe » durant les vêpres. L’évêque ajoute que les deux hommes n’ont pas été menaçants, qu’ils ont discuté (religion) avec une sœur, et qu’ils sont repartis comme ils étaient venus « en remerciant la sœur pour son accueil ».
Il est gentil, cet évêque qui parle d’arabe sans spécifier que ces prières sont obligatoirement islamiques: les deux hommes ne sont pas venus prier les vêpres en arabe, mais leurs propres prières. Dans le cas présent, cela signifie pour les islamistes que la chapelle du Carmel de Verdun est désormais consacrée à l’islam et qu’elle pourrait être prise le jour où ce sera possible.
Quid des textes dont la propagation sera subventionnée grâce à la modification de la loi de 1905 ?
M. Macron a profiter des manifestations des dernières semaines pour signer en catimini et sans ouverture d’un débat l’accord de Marrakech. Une signature à l’arabe: sans papier, à main levée, comme on fait dans la Ligue Arabe.
Ensuite, il a fait son discours télévisé, et il s’est gardé d’en parler. Ainsi, quid des médias qui propagent l’intolérance envers ceux dont la religion n’est pas exotique ? D’après la loi, l’Etat n’a même pas le droit de les tolérer. Or ces textes sont parfois payés par des institutions subventionnées par des municipalités, et donc, par de l’argent public. Mais en modifiant la loi de 1905, l’Etat subventionnera des gens qui appellent à suivre des textes comme celui ci-dessous. D’après la charia, dont on veut subventionner l’enseignement, le texte ci-dessous est sacré, et celui qui le critique est passible de mort. M. Tareq Oubrou ose-t-il avouer cela ? ou bien la taqiya continue à tuer toute sincérité en lui ?
Quel comble, sachant cela, de lire que le pacte de Marrakech invite à « cesser de subventionner les médias qui propagent systématiquement l’intolérance, la xénophobie, le racisme et les autres formes de discrimination envers les migrants, dans le plein respect de la liberté de la presse » !
Lina Murr Nehmé, 10 décembre 2018
Nota bene : La photo est un fac-similé coloré tiré du livre d’Eldjazaïri que l’on trouve dans toutes les mosquées : le fac-similé ci-dessus vient du livre La Voie du Musulman, qui se trouve dans toutes les mosquées. Tout comme le Sahih Moslem, dont est tiré le hadith cité. Il y a des musulmans qui refusent les hadiths, dans ce cas que Tareq Oubrou le dise.
L’article dont nous parlons est consultable ici (Objectif 17, paragraphe d):
En 2015, Tareq Oubrou, alors Frère Musulman et membre de l’UOIF, a traité de “kouffars” les chrétiens et les juifs. J’avais transcrit et expliqué son sermon dans mon livre “Tariq Ramadan, Tareq Oubrou, Dalil Boubakeur: ce qu’ils cachent”, sorti en 2017.
Ci-dessous, extrait de la page de conclusion de ce sujet. J’y parle de trois hommes de religion chrétiens et juif, qui ont accepté de co-signer des livres avec Tareq Oubrou, alors bien moins connu qu’eux (comme le prouve l’ordre dans lequel les noms ont été mis sur les couvertures de la première édition).
Et je parle aussi de ce qu’on peut comprendre de cette identification que fait Oubrou avec les “kouffars” auxquels il assimile les chrétiens et les juifs, disant que ces kouffars sont l'”ennemi hostile” qu’il faut “combattre physiquement”.
C’est à cet homme que M. Macron va livrer l'”islam de France” ?
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Ci-dessous, extrait de Lina Murr Nehmé: “Tariq Ramadan, Tareq Oubrou, Dalil Boubakeur: ce qu’ils cachent”, p. 106 :
“En donnant ainsi à Oubrou du crédit auprès des chrétiens et des juifs et en lui ouvrant leurs médias et leurs salles de conférences, il est douteux que ces trois hommes de religion puissent avoir su qu’il disait d’eux et de leurs ouailles qu’ils étaient « l’ennemi hostile que sont les kouffars » que le musulman français devait combattre en faisant contre eux « un djihad physique et une lutte, pas forcément physique ».
Reste à savoir ce que veut dire Oubrou quand il parle d’un « djihad physique » et « une lutte pas forcément physique».
Car la discussion n’est pas un djihad physique. Le djihad dont parle Oubrou n’est donc pas un djihad de prédication.
Restent les armes à feu et les bombes. Qu’Oubrou les ait ou ne les ait pas eues en tête quand il a prononcé ces paroles, il y a fort à parier que c’est tout de même ce qu’ont compris les auditeurs qui connaissaient les textes auxquels il faisait référence.”
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Texte de 4e de couverture de: “Tariq Ramadan, Tareq Oubrou, Dalil Boubakeur: ce qu’ils cachent”, par Lina Murr Nehmé:
“À l’ombre de l’islam de France, les musulmans qui exercent la liberté de conscience – et les non-musulmans qui critiquent Mahomet – sont-ils à l’abri de la mort que leur promettent les terroristes ? En d’autres termes, est-ce que l’islam de France compte les soutenir ? Tariq Ramadan dit oui. Tareq Oubrou aussi. Le recteur Dalil Boubakeur, la figure officielle la plus importante de cet islam de France, dit oui.En même temps, Tariq Ramadan défend la décapitation de sept cents hommes et la vente de leurs femmes et enfants pour le viol et le service. Tareq Oubrou ne s’est jamais repenti d’avoir appelé au djihad pour construire le califat. Et dans l’institut de théologie que préside Dalil Boubakeur, les futurs imams et aumôniers de prison de France, de Belgique, de Suisse et du Canada apprennent à interpréter les textes sacrés de l’islam à la façon de Daech. Ils apprennent à haïr la France, à traiter les Français de croisés haineux et à prétendre que leur haine a été la raison de l’occupation de l’Algérie.Quelle est la vérité de cette occupation ? Quel est le rôle joué par le gouvernement algérien dans l’islamisation galopante en France ? Laissons parler Tariq Ramadan, Tareq Oubrou et Dalil Boubakeur. Laissons les textes qu’ils citent parler.”